Phrase mythique, issue des non moins mythiques Bronzés qui vous semble particulièrement adaptée à l’un de vos collègues.
Vous observez, joyeusement, ses multiples tentatives de conclusion auprès de la gente féminine et s’il a la chance d’être grand et chevelu, contrairement à Michel Blanc, il rame, rame, rame comme ce dernier…
Et pourtant, il en dépense de l’énergie. Il a tout tenté auprès des petites nouvelles embauchées, grand numéro de charme, toutes plumes lustrées et fièrement dressées, langue bien effilée car notre héros du jour est grand parleur ; rien n’y a fait !
Les jeunes recrues sont demeurées insensibles à ses charmes. Et pourtant des charmes il en a : un petit côté exotique, un brin-brun ténébreux, toujours bien habillé en parfaite adéquation avec le dress code, prévenant, tout sourire, ses conversations flirtant avec le sommet de l’état français … rien à faire. Pour les filles, il n’est qu’un coq mielleux et fielleux dont le sex appeal est plus proche de celui d’un chapon que de l’emblème français. Toutes ses invitations à des débats hauts perchés sont restées sans suite. Ce qui vaut à toutes une sorte de froideur qui contraste gravement avec la chaleur des débuts… l’été s’ra frais !
Alors, me direz-vous, il faut bien qu’il se console, ce qu’il fait environ 100 fois par jour auprès de toutes les séduisantes cocottes qui passent la grille de chez p’tit Louis.
En vendant ou en contrôlant les tickets d’entrée, soit en moins de 3 secondes chrono, il parvient à placer des compliments : « vous avez des yeux superbes mademoiselle, vous êtes américaine ? how are you ? you’re so lovely !, vous venez de quelle ville ?, quel sourire ! »… ces remarques se terminent parfois par un échange de numéro de téléphone, pendant lequel vous pouffez intérieurement. Mais de conclusion, point …
Et pourtant il y met du cœur allant jusqu’à dire à une jeune américaine d’à peine 20 ans qu’elle est « very sexy » sous prétexte qu’elle porte un tee-short avec cette inscription, certes un peu mal placée, mais de là à y voir un appel ?! Lorsque vous l’excusez auprès de la jeune fille, il enfonce le clou en lui demandant si elle recherche un homme !!! On croit rêver.
Et quand vous avez le malheur de lui faire remarquer qu’il fait le joli cœur, il est vexé comme un pou et vous renvoie dans vos pénates en vous faisant comprendre qu’être une TSE (trentenaire sans enfant) c’est anormal. D’ailleurs, si vous avez un problème (sous-entendu) dans votre couple, il veut bien se dévouer ! Vous notez rapidement le choix du verbe qui démontre que vous ne devez plus être très appétissante du haut de votre grand âge, et qu'en gros ce serait une corvée : ha c’est fin !!!
Votre grand âge ne vous empêche pas de vous faire draguer par les papis en goguette qui vous trouvent encore appét’, eux. Sans compter les automobilistes (notamment un en camionnette) qui fantasment sur les femmes qui pédalent et engagent la conversation au feu rouge souhaitant vous raccompagner, vélo dans le coffre, si vous êtes « crevée », halte ! on ne rêve plus cela relève définitivement du cauchemar ! Ajoutez que vous êtes en pantalon et en veste et que vous avez près de 31 ans, non mais ! Après le tee-short « quéquettes sous tension » vous pensez investir dans un nouveau petit haut : « casée depuis 13 ans, fidèle, bientôt 31 ans, alors n’y pense même pas ! »
Chez p’tit Louis, un haut lieu de la drague ? On peut y croire, il est évident qu’avec l’été et les étalages de chair qu’il entraîne, il peut être difficile de résister à la tentation de lisser ses plumes et de se pavaner.
Et pourtant, il en dépense de l’énergie. Il a tout tenté auprès des petites nouvelles embauchées, grand numéro de charme, toutes plumes lustrées et fièrement dressées, langue bien effilée car notre héros du jour est grand parleur ; rien n’y a fait !
Les jeunes recrues sont demeurées insensibles à ses charmes. Et pourtant des charmes il en a : un petit côté exotique, un brin-brun ténébreux, toujours bien habillé en parfaite adéquation avec le dress code, prévenant, tout sourire, ses conversations flirtant avec le sommet de l’état français … rien à faire. Pour les filles, il n’est qu’un coq mielleux et fielleux dont le sex appeal est plus proche de celui d’un chapon que de l’emblème français. Toutes ses invitations à des débats hauts perchés sont restées sans suite. Ce qui vaut à toutes une sorte de froideur qui contraste gravement avec la chaleur des débuts… l’été s’ra frais !
Alors, me direz-vous, il faut bien qu’il se console, ce qu’il fait environ 100 fois par jour auprès de toutes les séduisantes cocottes qui passent la grille de chez p’tit Louis.
En vendant ou en contrôlant les tickets d’entrée, soit en moins de 3 secondes chrono, il parvient à placer des compliments : « vous avez des yeux superbes mademoiselle, vous êtes américaine ? how are you ? you’re so lovely !, vous venez de quelle ville ?, quel sourire ! »… ces remarques se terminent parfois par un échange de numéro de téléphone, pendant lequel vous pouffez intérieurement. Mais de conclusion, point …
Et pourtant il y met du cœur allant jusqu’à dire à une jeune américaine d’à peine 20 ans qu’elle est « very sexy » sous prétexte qu’elle porte un tee-short avec cette inscription, certes un peu mal placée, mais de là à y voir un appel ?! Lorsque vous l’excusez auprès de la jeune fille, il enfonce le clou en lui demandant si elle recherche un homme !!! On croit rêver.
Et quand vous avez le malheur de lui faire remarquer qu’il fait le joli cœur, il est vexé comme un pou et vous renvoie dans vos pénates en vous faisant comprendre qu’être une TSE (trentenaire sans enfant) c’est anormal. D’ailleurs, si vous avez un problème (sous-entendu) dans votre couple, il veut bien se dévouer ! Vous notez rapidement le choix du verbe qui démontre que vous ne devez plus être très appétissante du haut de votre grand âge, et qu'en gros ce serait une corvée : ha c’est fin !!!
Votre grand âge ne vous empêche pas de vous faire draguer par les papis en goguette qui vous trouvent encore appét’, eux. Sans compter les automobilistes (notamment un en camionnette) qui fantasment sur les femmes qui pédalent et engagent la conversation au feu rouge souhaitant vous raccompagner, vélo dans le coffre, si vous êtes « crevée », halte ! on ne rêve plus cela relève définitivement du cauchemar ! Ajoutez que vous êtes en pantalon et en veste et que vous avez près de 31 ans, non mais ! Après le tee-short « quéquettes sous tension » vous pensez investir dans un nouveau petit haut : « casée depuis 13 ans, fidèle, bientôt 31 ans, alors n’y pense même pas ! »
Chez p’tit Louis, un haut lieu de la drague ? On peut y croire, il est évident qu’avec l’été et les étalages de chair qu’il entraîne, il peut être difficile de résister à la tentation de lisser ses plumes et de se pavaner.
A bi’tôt !
1 commentaire:
"Dans une ferme du Poitou
Un coq aimait une pendule
Tous les goûts sont dans la nature...
D'ailleurs ce coq avait bon goût
Car la pendule était fort belle
Et son tictac si doux si doux
Que le temps ne pensait surtout
Qu'à passer son temps auprès d'elle
Dans une ferme du Poitou
Un coq aimait une pendule
De l'aube jusqu'au crépuscule
Et même la nuit comme un hibou
L'amour le rendant coqtambule
Des cocoricos plein le cou
Le coq rêvait à sa pendule
Du Poitou
Dans une ferme du Poitou
Un coq aimait une pendule
Ça faisait des conciliabules
Chez les cocottes en courroux
"Qu'est-ce que c'est que ce coq, ce cocktail
Ce drôle d'oiseau, ce vieux coucou
Qui nous méprise et qui ne nous
Donne jamais un petit coup dans l'aile?"
Dans une ferme du Poitou
Un coq aimait une pendule
Ah, mesdames, vous parlez d'un Jules!
Le voila qui chante à genoux
"O ma pendule je t'adore
Ah! laisse-moi te faire la cour
Tu es ma poule aux heures d'or
Mon amour"
Dans une ferme du Poitou
Un coq aimait une pendule
Il est temps de venir à bout
De cette fable ridicule
De cette crête à testicules
Qui chante l'aurore à minuit
Il avance ou bien je recule
Se disait notre horlogerie
Qui trottinait sur son cadran
Du bout de ses talons aiguille
En écoutant son don Juan
Lui seriner sa séguedille
Pour imaginer son trépas
Point n'est besoin d'être devin
La pendule sonne l'heure du repas
Coq au vin..."
C'est la BO de ton post ! :-) o2
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